lundi 21 septembre 2009

Sous la férule de Dick Irvin

Bonjour,

Sur le site du Panthéon, Paul Foisy publie la deuxième partie d’un texte sur le camp d’entraînement du Canadien à Saint-Hyacinthe. Nous y verrons plus en détail les activités qui se sont déroulées lors du camp pré-saison de la campagne 1940-1941. Sous la férule de Dick Irvin, les joueurs du Canadien participent à un vrai camp de travail!

Voyez la deuxième partie du texte en cliquant ici

Éphémérides sportives
Recueillies par Daniel Papillon



Il y a 50 ans …

Les lancers de Howe et Bathgate l’ont décidé!
C’est définitif, Plante portera un masque


Les Canadiens sont devenus populaires à travers le monde à cause principalement du nombre de joueurs étoiles qu’ils ont alignés depuis déjà plusieurs années. Ces vedettes ont également contribué largement à la popularité du hockey et des Canadiens en particulier en s’avérant d’excellents ambassadeurs de bonne entente partout où elles sont allées.

(…) Sans probablement y penser, plusieurs joueurs des Canadiens attirent à eux seuls des milliers de personnes dans les villes américaines.

(…) Le temps passe et les Canadiens ont encore le doigté magique du spectaculaire. Ainsi, pour ajouter à leur actif autant publicitaire que spectaculaire, le Tricolore a réussi à mettre la main sur Jacques Plante, le gardien de buts le plus spectaculaire et probablement le plus discuté de l’histoire du hockey.

(…) C’est au cours de la semaine qui s’achève que Plante a expérimenté pour la première fois le nouveau masque protecteur et il s’est dit enchanté de l’acquisition de ce protecteur révolutionnaire. L’idée du nouveau masque a été conçue par Bill Burchmore, de la firme Fiberglass, il y a 2 ans.

Le Petit Journal, dimanche le 27 septembre 1959, p.130

Il y a 100 ans…

La lutte
Un chat en farine


Truqués ces Américains!
Le fameux O’Connell qui doit rencontrer Tremblay ce soir, au parc Sohmer, n’est autre, nous apprend une dépêche de Toledo, que Jack Billiter, un lutteur de très grands moyens, que son frère John a entraîné pour briser les os de Tremblay, croyant que c’est là la meilleure tactique à employer pour détrôner le champion du monde. Informé de ce travestissement, de la dernière minute, Eugène n’a pas paru trop s’en émouvoir et s’est contenté de sourire. C’est sa manière à lui, de recevoir des nouvelles qui décourageraient tout autre lutteur. Mais, que voulez-vous? Eugène est ainsi fait! Ce sourire d’occasion est croyons-nous, la manifestation d’une intention bien arrêtée de renverser l’impudent qui a osé jouer au « chat enfariné ». Pauvre Billiter, nous le plaignons d’avance! Il t’en coûtera ce soir d’avoir impudemment provoqué le champion des champions!

Le Canada, vendredi le 24 septembre 1909, p.3

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